“Le bon sens est la chose la mieux partagée” écrivait Descartes. L’amour est pourtant un défi au bon sens. Et nous sommes nombreux à le partager. Mais dans un couple, il y a toujours l’un des deux qui aime plus que l’autre. Parfois même l’un des partenaires n’éprouve aucun sentiment. Se servant de l’illusion créée voire de la naïveté de son partenaire pour atteindre des buts plus terre-à-terre. Satisfaire un besoin d’indépendance financière voire de détenir une position sociale dominante. Bien entendu, on n’a que faire des moyens utilisés pour atteindre les objectifs visés. Ces « opportunistes » sont des êtres déshumanises. Dans cette catégorie, nous placerons celles que nous appelons les « Veuves Noires ». Elles n’ont aucun scrupule pour se servir de leurs charmes quitte à éliminer physiquement ou à détruire moralement leurs proies.

Dans l’enquête menée par nos inamovibles investigateurs Declercq et Le Pendu, nous ferons connaissance avec l’une d’entre elles : Jeanne O’Connell. Nous nous apercevrons toutefois que ces « Veuves Noires » sont  parfois victimes de leurs propres traquenards. A semer la désolation on récolte souvent des colères aveugles capables de réduire à néant les objectifs visés par ces « drôles de femmes ». On bute dans ces passionnés qui ne peuvent accepter d’être mis à l’écart. On en paye alors le prix fort.