Clin d’oeil
Stéphane Hilleret
Genre : Contes/Fables
Nombre de pages : 78
Isbn : 978-2-310-03356-5
Prix du livre : 10 € ttc
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Editions Amalthée
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Chez tout bon libraire
Résumé de l’ouvrage :
« Des fables tendres que tu peux apprendre,
Mais que pour certaines comprendre,
Il te faudra peut-être attendre,
Que ton âge tendre ne soit plus que cendre. »
À travers des contes en rimes, l’auteur invite les lecteurs en herbe et leurs parents à voyager au cœur du folklore et à s’interroger sur le monde qui les entoure.
Le sens de la vie avec ses joies et ses peines, la gentillesse, la méchanceté, la justice, l’injustice et l’espoir sont autant de thématiques abordées de façon ludiques et amusantes.
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Joe (ou ma vérité ad absurdum)
Stéphane Hilleret
Genre : Contes/Fables
Nombre de pages : 44
Isbn : 978-2-310-03357-2
Prix du livre : 8 € ttc
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Editions Amalthée
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Fnac
Chez tout bon libraire
Résumé de l’ouvrage :
« Ce fut par le plus grand des hasards que Joe, un petit lézard des murailles, fit une rencontre qui devait changer sa vie, du moins sa vie de reptile saurien. »
Ce récit, désiré surréaliste en hommage à monsieur Kafka, s’inscrit dans un esprit quelque peu similaire aux sillons tracés par le personnage de « K », et les ouvrages La Métamorphose et Le Procès.
À première vue absurde ou extravagant, il cache derrière les mots, les symboles et les faux-semblants, une vérité qui ne demande qu’à être découverte à travers Joe, un lézard devenu homme.
Promenant son regard naïf et plein d’interrogations sur le monde, il s’éveille et illustre ce que Franz Kafka avait déjà appelé le « diabolique en toute innocence ».
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Tranches de vie
Stéphane Hilleret
Genre : Poésie
Nombre de pages : 60
Isbn : 978-2-35485-853-7
Prix du livre : 12 € ttc
Se procurer le livre :
Editions Jets d’encre
Chez tout bon libraire
Résumé de l’ouvrage :
Le regard d’une femme posé sur lui, le souvenir d’un voyage à Prague, d’une escale à Cabourg, la joie de devenir père ou un jour le rêve d’écrire…
Avec une plume ciselée et enlevée, un ton humoristique parfois incisif, Stéphane Hilleret revient sur les moments forts de son existence, les épisodes tendres, les heures inoubliables… esquissant le portrait d’un homme authentique et émouvant, dont l’universalité des valeurs trouvera un écho auprès du lecteur.
> Cher Stephane, voici quelques impressions sur clin d’œil.
> On voit vraiment là, de la poésie : que ce soit « une louche, louche » ou la neige, à la fin, que j’ai beaucoup aimé (la terre s’est rhabillée, la montagne ridée), on voit que tu joues avec les mots.
>
> Il est certain que Clin d’œil peut se lire à plusieurs niveaux, comme tu le dis dans la préface.
> En effet, dès le premier, « un petit lapin », on trouve tes thèmes : la société décrite par le caméléon (pour prendre les cœurs), les victimes de l’araignée laissées sur le bord de la toile, et la conclusion que la vie est un sursis.
> Le cheveu est bien seul et L’asticot a plusieurs ennemis.
>
> De même que le petit porc aidé finalement par le bourdon. Même si comme tu le dis, il faut avoir peu de confiance en son prochain, il y a cette touche d’espérance : il y a toujours un bourdon.
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> Comme il y a toujours un bourdon, il y a une justice; elle apparaît dans la méchante herbe face à l’épi de blé qui grandis pour que tous ses fruits créent un paradis, et le petit flocon moqueur face au vieil oiseau, page 37.
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> Le clown montre aussi l’apparence malsaine de la société quand le maquillage coule.
> Et la petite chaussure, page 23, se révolte, ainsi que le nuage blanc par rapport au souffle aride .
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> Et puis on a le réconfort, enfin, avec la colombe qui trouve son port d’attache (elle a enfin trouvé de l’amour à en croquer). Le réconfort passe par le corps épanoui dans « la cerise », et par donner du sens à sa vie dans « l’aiguille ». Dans « dent de lait », il s’agit de s’enfuir vers un paradis: un autre palais vraiment existait.
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> Je relève donc la description d’un monde dur mais vois pointer des touches d’espérance dans ce recueil.
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> Ton vieil ami
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