Voici ce que j’ai proposé à Alain Connes et à toute l’équipe de la théorie des nombres de Jussieu et à bien d’autres encore :

Une recherche en autodidacte m’a amené à :

– Caractériser les nombres premiers par un groupe (non commutatif)
– Trouver l’algorithme pour Casser le RSA à 2048 bits
– Résoudre P=NP
– Prouver la conjecture de Riemann

C’est possible en démontrant la conjecture de GOLDBACH forte.
Une hypothèse vérifiée jusqu’à 360 millions m’a incité à développer une théorie mathématique que je n’ai pas réussi à faire publier.
N’étant pas mathématicien professionnel, la présentation n’était pas assez académique. Toutefois, je suis bel et bien un inventeur (voir mon profil sur https://fr.linkedin.com/ et cherchez à GALLEGO LUIS pour la France) et c’est dans cet esprit que je l’ai expérimentée à l’aide d’outils informatiques.

Étonnamment, je n’ai reçu aucune réponse mais vu sous cet angle, c’est compréhensible : comment un inconnu peut-il résoudre à lui seul le graal des mathématiques ?

Auparavant, j’avais soumis mon manuscrit à des revues scientifiques, la dernière étant Elsevier. La réponse de ces dernières était : « not suitable for the review ». Il faut dire que traduit en anglais par mes soins, cela ne devait effectivement pas être suffisamment suitable ou académique !

Certes l’académie est mise à mal même et surtout avec la version française de mon essai.

Finalement, celui-ci a été publié en Français à compte d’auteur aux éditions Amalthée sous les formes suivantes :

– Livre intitulé  » La conjecture de Goldbach forte et ses conséquences sur la théorie des nombres.

– Téléchargeable sur internet à l’adresse : https://editions-amalthee.com/essai.html où je vous invite à laisser vos commentaires…

– Si j’ai commis seul ce manuscrit, je tiens à préciser m’être largement inspiré d’articles, revues et travaux mathématiques, que leurs auteurs (vivants) me pardonnent : un seul contre exemple ou une erreur rédhibitoire suffira à l’invalider !

Par ailleurs, je n’ai pas vraiment mené ces recherches seul, sans l’outil informatique, elles n’existeraient pas : merci à Alan Turing, à Von Neumann, aux ingénieurs de la Silicone-valley…

Vers la fin de mon essai, j’en arrive à un paradoxe entropique qui pourrait avoir comme solution un espace temps discret…là j’avoue ne pas avoir les compétences pour explorer cette voie !

J’espère avoir retenu votre attention et pouvoir apporter une contribution à l’avancement des mathématiques sur ces conjectures et leurs conséquences.

Mon parcours en deux mots et mes centres d’intérêts :

Luis Gallego

Luis Gallego

Je suis né en 1957, année du spoutnik, oui je sais c’est un vieux modèle !

Mes études chaotiques m’ont conduit à passer une maîtrise en électronique au CNAM. Aux portes du diplôme d’ingénieur que je n’ai pas pu passer, je n’ai pas insisté et me suis tourné vers des recherches personnelles, notamment un système de cryptage breveté à l’INPI.

Par ailleurs j’ai reçu une formation sérieuse de technicien en automatisme : logique de Boole combinatoire et séquentielle, systèmes asservis avec les correcteurs linéaires PID.

Mon passe temps favori reste l’étude de l’histoire des sciences et leurs applications : je crois car je m’intéresse aussi à la philosophie que nous en sommes arrivé à un point entre ces deux disciplines où la science est à la remorque des catégories philosophiques telles qu’énoncées par la philosophie allemande du 19ème siècle comme le matérialisme dialectique et la séparation toujours flagrante de l’inné et l’acquis, en marque la césure, quoique ce que l’on nomme épigénèse en soit à mon avis l’approche la plus convaincante avec ce que jean pierre Changeux appelle épigénèse par stabilisation sélective : c’est pour moi la synthèse entre la théorie de l’évolution darwinienne et les derniers développements de la science dure épurée des scories expérimentales et revendiquant parfois une ontologie digne de l’école platonicienne.

L’univers primordial à l’aulne des multivers ne serait qu’un phénomène relevant du concept d’épigénèse par stabilisation sélective.

Le trouble est aujourd’hui une absence de représentation mentale des expériences non locales de la mécanique quantique sur les particules intriquées. En conclusion la Science fait la course en tête mais elle n’a plus la tête à sa place, elle s’est décrochée, ivre de son succès, de son socle mythologique : c’est Anthée qui triomphe d’Héraclès, le monde à l’envers !

 J’aime également les récits d’aventuriers de la science mais pas seulement : cela peut aller de Colomb en passant par Shackleton, Youri Gagarine bien sûr et tant d’autres, ceux qui marchent à pied vont en vélo, voitures, avions, fusées et ceux qui marchent dans leur tête aux confins de l’univers comme Stéphen Hawking.

J’apprécie les aventuriers du 18ème siècle à l’instar de Casanova, ceux du 20ème comme Claude Lévi Strauss qui haïssait les voyages et les explorateurs dans tristes tropiques.

Bon vous l’aurez compris, je ne peux en dérouler une liste exhaustive, j’espère seulement pouvoir répondre présent !