Bertrand Thébault
Le destin a voulu que l’auteur prenne au fil de ses études secondaires et supérieures un chemin qui lui a certes réussi, mais qui n’était pas celui de la facilité. A l’aise dans les disciplines non scientifiques – le français, les langues, l’histoire ou la géographie – mais devant fournir des efforts considérables pour rester dans la course en mathématique et en physique, Bertrand THÉBAULT s’est pourtant retrouvé très tôt sur des rails qui l’ont conduit au Prytanée de La Flèche en classe préparatoire aux Grandes Écoles.
Devenu ingénieur, il a toutefois pu montrer que ses points forts lui ont été utiles pour prendre des responsabilités d’une très grande variété au cours de sa carrière, allant du travail d’ingénieur en recherche et développement, ce pour quoi il avait été formé, à celui ultime de diplomate au sein d’une institution des Nations-Unies en passant par des activités l’ayant, entre autres, amené à établir des contacts étroits avec les pays de l’ancien Bloc soviétique au début des années 90 et qui ont permis à des ingénieurs de haut niveau de venir en France apprendre notre langue et compléter leur formation sur les bancs de nos Grande Écoles.
Il est donc moins étonnant qu’avec un tel parcours Bertrand THÉBAULT ait eu l’envie de réaliser avec la rédaction de cet essai un travail qui satisfait enfin son goût et confirme ses prédispositions incontestables pour l’écriture. La diversité des thèmes traités et la manière dont il le fait reflètent également la culture mixte d’un scientifique qui s’exerce dans un genre littéraire.
Enfin, l’auteur nous montre un profil humaniste au travers de ses analyses du monde dans lequel nous vivons et sa vision de ce que devrait être une société qui place l’humain au centre de ses priorités.
Quel beau parcours, depuis cette enfance qui nous à été commune, pendant certaines vacances lointaines.
Viviane.
Bonjour Bertrand,
Je découvre que derrière l’ingénieur sommeillait un essayiste. Bravo pour ta défense d’une noble cause, malheureusement l’Homme a mis son intelligence au service de sa propre perte !.
Bonjour à Olivier.
Amicalement,
Claude Labbé
Merci Claude de ton commentaire encourageant et pertinent tout à la fois.
Je ne manquerai pas de transmettre ton bonjour à Olivier qui a mis son talent au service de mon essai afin de le rendre un peu moins austère.
Nous sommes des êtres complexes et avons tous des facettes cachées de nos personnalités; c’est pourquoi il est si difficile de connaître les autres.
Mais le monde dans lequel nous vivons est à notre image, donc tout aussi complexe; c’est pourquoi il est si difficile de le comprendre.
NÉMÉSIS n’a d’autre ambition que de contribuer modestement à cette compréhension face aux messages simplistes que l’on nous délivre au quotidien.
Avec mon amical souvenir,
Bertrand
Quel ouvrage ! Enfin quelqu’un qui ose dire en face pourquoi cela va si mal dans notre (dite) civilisation et sur notre pauvre planète.
Avec les calculs mathématiques (pour lesquels je ne suis pas douée) on peut comprendre les rouages, les mensonges, les roueries, les combines, les abus et autres horreurs qui font que ce soit fort possible, déjà trop tard pour remettre tout d’aplomb.
Bien sûr je m’explique bien simplement, mais je comprends mieux pourquoi je me révolte souvent. Mais beaucoup ne réalisent pas, mais pas du tout, l’atmosphère dans laquelle nous vivons tous, et pire, ne veulent pas l’admettre.
Des personnes m’ont souvent reproché de revenir en arrière dans mes souvenirs. Cependant, ceux-ci m’aident à comparer avec l’époque d’aujourd’hui en passant par les « trente glorieuses » où toute la population d’après guerre avait envie de vivre…
Mais les humains ne comprenaient pas encore que tout allait très vite et que ce confort nouveau, dans tous les domaines, à l’origine du désastre actuel, a donné comme résultat la pollution immonde et l’avidité grandissante (ce n’est pas nouveau) de tous les « grands » sur notre planète.
Les différents gouvernements de tous les pays se « hâtent lentement » pour décider et interdire à partir de telle ou telle date fort lointaine. Alors qu’il est urgent d’interdire définitivement certains produits dangereux, et ceci malgré des preuves irréfutables de conséquences sur la santé et les changements climatiques…
En tous les cas, dans notre pays on peur remarquer un grand laxisme dans les décisions à prendre.
Je regrette beaucoup de n’avoir pu participer au débat lors de la présentation de votre livre. Il est toujours bon de partager avec d’autres personnes les impressions et avis personnels. Peut-être une autre fois ?
Toute mon admiration pour vos écrits et ma sympathie pour votre amabilité.
Anecdote :
La vie ne peut être comprise qu’en regardant en arrière, même si elle doit être vécue en regardant en avant, c’est à dire vers quelque chose qui n’existe pas. (c’est à méditer je pense…)
Chère Madame Pommereau,
Merci de vos commentaires qui me vont droit au cœur. Votre lucidité est rassurante, démontrant au passage que la lecture d’un simple livre peut
mettre à mal le discours mille fois repris sur les médias dominants et par leurs obligés que sont les dirigeants politiques, discours
selon lequel l’histoire est finie et que nous n’aurions d’autre choix que des aménagements à la marge du système libéral.
Notez que je serai à nouveau les 12 et 13 octobre au salon organisé par Cultura au Domaine de Varye à Saint Doulchard.
Bonjour Mr Thibault
Pourriez vous me dire si votre livre pourra se lire dans un avenir proche sous format numérique
Cordialement
Bonjour,
Désolé pour la réponse tardive. Le livre est également disponible depuis sa parution en octobre 2017 en version numérique.
Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires, quel qu’en soit le ton!
Bertrand Thébault
J’ai pris le temps de discuter avec vous dans le courant de l’après-midi chez Leclerc. C’est très amusant d’ailleurs, car comme vous à la base je suis littéraire (si vous lisiez certains de mes textes, cela vous ferait sourire!!!). J’ai apprécié cette petite parenthèse Némésis et Bastet (dans la mythologie égyptienne, née le 23 septembre, je suis Bastet) devraient bien s’entendre. Et mes textes, vont sans doute vous plaire. Il n’y a jamais de hasard.
Bonjour Anita,
Je me permets cette petite familiarité de m’adresser à vous par votre prénom, mais je considère que celles et ceux qui s’intéressent à ce que j’écris
sont des amis! Comment pourrais-je découvrir vos textes? Et quand vous aurez découvert les miens, je serais très heureux de recevoir vos commentaires, quelle qu’en
soit la tonalité bien sûr. Merci enfin de vous être arrêtée devant ma table à l’Espace culturel Leclerc de Poitiers. Pour ce qui est du hasard, il y a selon moi une certitude: l’avenir de l’humanité n’en dépend plus; il dépend de l’humanité elle-même.
A bientôt de vous lire!,
Bertrand