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Les rencontres à venir

Ecrit par Bertrand
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Les rencontres à venir

Après une rentrée littéraire active commencée le 27 août à Chanceaux-près-Loches chez feu Gonzague Saint-Bris et terminée le 14 novembre au Salon du Livre des Auteurs à Dourdan, l’année 2022 reprendra timidement la promotion de AUTOUR D’UN LIVRE, mais aussi de NEMESIS, essai plus que jamais en résonance avec les grands sujets – les vrais sujets ! – qui devraient constituer l’arête dorsale de la campagne des élections nationales en France. Cette reprise se fera en février avec les deux rencontres suivantes :

1 samedi 5 février en Charentes, à Confolens, 4ème édition du Salon du Livre.

2 samedi 12 février en Essonne, salon des Auteurs locaux, au Carré d’Art, la médiathèque de Montgeron sise 2 rue des Bois.

Bien sûr, la tenue de ces manifestations reste conditionnée par l’évolution de la situation sanitaire. 

Bon réveillon du Nouvel An. Restez actifs et opiniâtres en 2022 dans tout ce que vous pouvez entreprendre afin de rendre notre monde meilleur et le remettre à l’endroit…

Bertrand 

Dédicaces et salons

LVMH – Squarcini – Ruffin

Ecrit par Bertrand
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LVMH – Squarcini – Ruffin

Dans le dernier article de mon blog, « L’art et le luxe des milliardaires », j’avais évoqué les agissements de Bernard Arnault et LVMH à l’encontre de François Ruffin et du journal Fakir, et du rôle joué dans ces barbouzeries par l’ancien chef de la DCRI, Bernard Squarcini. Les informations parues ces derniers jours dans les médias, notamment dans Mediapart le 17 décembre dernier, révèlent une fois de plus comment l’entreprise du luxe et son milliardaire de patron s’en tirent à très bon compte aux termes d’une transaction conclue dans le cadre d’une Convention judiciaire d’intérêt public (CJIC), laquelle serait plutôt la mal nommée en ce qui concerne l’intérêt public puisque la sanction prononcée se limite à 10 millions d’euros, autrement dit une goutte d’eau pour LVMH. Comme le fait justement remarquer François Ruffin, « l’intérêt public n’est pas de faire rentrer de l’argent dans les caisses de l’État mais de garder la confiance dans la justice de notre pays », ajoutant ensuite « Tant qu’à se faire payer, si c’est pour se faire payer, faisons-nous payer cher ! Là, on est à 0,02 % du chiffre d’affaires de LVMH. C’est l’équivalent de 10 euros pour un Français ».

Donc, à l’approche de Noël, voilà un problème de plus qui se règle à l’amiable en égratignant à peine Bernard Arnault et son groupe. Tout est calme sur le front de la finance.

Joyeuses fêtes quand même !

Bertrand

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